New World Order RPG
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Partagez|

Wet to the bone [RP Libre]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Aurore Bailey

Aurore Bailey

Power - Discover


Messages : 21
Date d'inscription : 28/05/2011
Age Du Personnage : 27 ans

Wet to the bone [RP Libre] Empty
MessageSujet: Wet to the bone [RP Libre] Wet to the bone [RP Libre] Icon_minitimeLun 30 Mai - 0:15

Dimanche, 15h25
Liverpool

Un pub anglais, un dimanche après-midi, à 15h25 exactement, ce n’est pas le genre d’endroit qu’un étranger viendrait fréquenter. Il m’arrive parfois de revenir ici dans ma Liverpool natale, du moins cet endroit où j’ai grandis avant d’emménager à Londres. Ca peut paraître bizarre, mais ici et à cette heure-ci, je me sens à ma place, pourtant ce n’est pas le genre d’endroit calme à cet instant, la bière est en happy houre, oui à cette heure-ci de l’après-midi, pour cause, si vous entrez dans ce bar à ce moment-là avec un maillot de football qui aurait le malheur de ne pas être celui des Reds, vous risquez fortement d’y laisser une partie de votre intégrité physique. Ce n’est pourtant pas que j’aime le football autant que mon père l’aurait aimé, ce n’est pourtant pas que j’aime la bière bien qu’elle soit bonne, ce n’est pourtant pas que je sois une hooligan, mais l’ambiance qui règne dans ce bar m’a toujours plu. Pas touchée, peu de choses me touchent, presque rien, rien je crois, je ne connais pas les états d’âme, j’ai exécuté un homme mais je n’ai rien ressentis, je ne ressens rien quand à ce geste. Alors je ne sais pas, mais dans ce pub, je sens ce qu’il y a entre ces gens présents, certains sont avocats, d’autres sont à l’entretien de la ville, un d’eux est éboueur, il y a même le gérant de plusieurs entreprises qui lui rapportent pas mal d’argent. Des gens qui n’ont rien à voir les uns avec les autres, des gens qui ne se parleraient même pas en temps normalement, qui se snoberaient, certains jugeant l’autre trop strict ou pas digne. Pourtant ici à cette heure, je les regarde et je les observe avec un petit sourire, ils sont bras dessus, dessous, ils chantent, se payent à boire. Quelques heures durant, les différences entre eux n’existent pas, ils sont tous des amis, réunis par une cause commune. Cette union qui les lie m’a toujours été incompréhensible, comme si le monde autour n’existait plus, juste ce match, quatre-vingt-dix minutes pendant lesquels rien n’importe sauf de supporter une équipe. Quand à moi...ici tout le monde s’en fout que je sois une femme, au début ils m’ont regardé bizarrement, mais mes joues aux couleurs de Liverpool et mon maillot et me voilà entre deux hommes qui se foutent bien de mon décolleté ou mes fesses. Ici rien ne compte, et je crois que j’aime ça, peu importe qui on est, peu importe les différences, et alors que l’ambiance dans le calme retombe un peu, je me lève avec ma bière :

- When you walk...trough a storm...Hold you head up high and don’t be afraid of the dark...

Il n’en faudra pas beaucoup plus pour que tout le pub reprenne derrière moi. Ca doit paraître étrange de me voir dans ce genre d’endroit, mais ici je me sens normale. Ils ne font pas attention aux différences, ils ne se rendent pas compte que je feins ce que je ressens, je suis fan de l’équipe de Liverpool parce que mon père l’est jusqu’à la moelle et que cet endroit m’a toujours fais du bien. Ce n’est pas tous les jours évidents de vivre en ne ressentant presque rien par soi-même, alors ici où tout le monde s’en fout de tout sauf de l’équipe, je me sens normale, moi-même vraiment. Et quand le match se termine, la soirée ne fait que commencer pour eux, quand à moi, je les abandonne avant que les discussions ne commencent, 17h déjà et j’ai de la route. Comme toujours je les salue d’un geste et tous ou presque me salue comme si nous étions des amis ad vitam eternam. Je mets mon blouson de cuir, mon casque et je saute sur ma moto, direction Londres, le plus vite sera le mieux, j’ai peur qu’il ne finisse par pleuvoir...Saloperie de pays.

Dimanche, 19h25
Londres

J’ai dû enfreindre a peu près la totalité du code de la route, même sens interdit et doubler par la droite, ce n’est pas que je n’aime pas l’eau, mais rouler sous la pluie est vraiment dangereux et franchement pas agréable en prime. J’ai mis deux heures quand il en faut plus de trois, peu importe, la mort et le danger ne m’impressionnent, littéralement. Arrivée chez moi, je me débarrasse des peintures sur mes joues avant de troquer mon jean, maillot de foot contre un short et un débardeur, I-pod sur les oreilles pour aller faire un peu de vélo, d’après la météo, il ne pleuvra pas avant le milieu de la nuit, j’ai donc du temps devant moi. Et tout se passe pourtant bien, je pédale avec conviction, direction inconnue mais pas ers le centre-ville, j’ai évité de m’y installer ce n’est pas pour y aller. Je m’éloigne de la ville, la musique sur mes oreilles m’entrainant et me faisant perdre notion des distances, je n’ai pas de tours déterminés, mais la première goutte de pluie sur mon nez me fait penser qu’il vaut mieux rentrer. J’ai pédale plus d’une heure et demi, à un très bon rythme, rentrer promet d’être long, plus encore quand des trombes se mettent à pleuvoir, une voiture passe à côté de moi à bonne allure et m’asperge en prime, je suis trempée jusqu’à la moelle. Plus jamais je n’écouterais la météo ! Une autre voiture passe, près, très près, trop près, le rétroviseur tape mon guidon, j’ai beau essayer d’utiliser mes super réflexes et ma super-agilité, j’accompagne simplement le vélo dans une super-chute, rencontre avec le macadam. Je tombe sur le côté gauche, frottant contre le sol ma jambe gauche dans un contact franchement désagréable et même douloureux. Je me relève en pestant plus qu’un américain et décide de me remettre en selle, le premier coup de pédale me renvoie au sol...chaine cassée...prodigieux. La pluie est passée diluvienne, je n’ai pas de portable sur moi et de toutes façons personne a appeler. J’abandonne le vélo et commence à marcher en grelottant, tendant le pouce quand une voiture passe mais qui s’arrêterait pour une auto-stoppeuse trempée ?
Revenir en haut Aller en bas
Pepper Chester

Pepper Chester

Fondateur - Big Boss du NWO


Messages : 1922
Age : 35
Date d'inscription : 24/03/2011
Age Du Personnage : 25 ans (681 en réalité)

Wet to the bone [RP Libre] Empty
MessageSujet: Re: Wet to the bone [RP Libre] Wet to the bone [RP Libre] Icon_minitimeLun 30 Mai - 23:24


    Je crois que je m'amuserais toujours autant en étant Pepper Chester. En effet, je me suis encore épluché un power dans une cellule à moitié moisie de la Tate Modern. Qu'est ce que je veux dire par là ? Et bien, ce que j'aime avec mon corps, c'est que je peux faire croire absolument n'importe quoi à n'importe qui. Je peux comme me métamorphoser en quelques minutes, être une jeune femme fragile, et l'instant d'après, être sadique, avoir ce petit regard, à moitié pervers en direction d'une personne puis l'instant d'après, avoir l'air de rien. Brune, blonde, rousse, j'ai changé tellement de fois au cours des siècles, enfin surtout durant les dernières décennies. J'ai vu tellement de chose, que plus rien ne me fait peur, absolument rien, et puis qu'est ce que je crains ? Honnêtement ? Rien, je ne crains rien, pas même la mort qui joue avec moi depuis quelques centaines d'années. Si vous saviez mon véritable âge, vous prendriez peur, vraiment, car sous mes apparences d'éternelle adolescente, je ne fais pas du tout mon âge. Je sortais donc de cette cellule, le power pensait que j'étais de son côté quand je lui ai montré mon pouvoir en me coupant légèrement la peau. Il me posa tellement de question, mais je n'en savais rien, du moins, je n'avais rien à lui dire, ce serait plutôt cela qui est juste. J'aurais pu lui révélé des choses mais non, je faisais mijoter le poisson pour savoir ce qu'il savait. Et puis comme il était loin d'être moche, j'ai commencé à le charmer et il s'est laissé faire même s'il était un peu réticent au départ. Je lui disais que nous pouvions le faire sans soucis, que nous pouvions les narguer eux qui nous retenaient alors que nous n'avions absolument rien demander. Je n'avais pas peur de lui montrer mon visage, la prochaine fois qu'il me verrait, s'il me revoyait un jour, il ne me reconnaîtrait pas le moins du monde. Et je me suis éclaté avec lui. Une fois suffisamment amusée, j'ai prononcé le mot de sortie alors que nous avions à peine fini, comme s'ils nous avaient vu et qu'ils allaient me punir pour dépravation. Ce power là était bon à rejeter dans la nature, il n'avait pas le potentiel d'un futur agent comme Page par exemple. Tant pis, nous le surveillerons de près, durant encore quelques mois/années avant qu'il ne se réveille.

    Je prenais une douche, c'est terriblement bon après un ébat physiologique de la sorte, pour se laver des impuretés de notre corps. Il m'arrivait parfois de prendre deux douches dans la même journée, souvent une le matin et une le soir avant de me coucher; quand je me couchais évidemment, car il n'était pas rare que je ne dorme pas, ou alors très peu. J'avais souvent des cas à étudier dans mon bureau, des personnes à abattre, d'autres à surveiller, d'autres encore à attraper, d'autres à tester et encore, cette liste n'est pas exhaustive, car il n'y a pas qu'un travail sur les powers à effectuer, mais je vais me garder de vous parler de cela, ce doit être un peu rébarbatif pour vous. Je regardais alors par la fenêtre, il y avait ces petits nuages au loin signe d'une pluie certaine dans peu de temps. Dans mon bureau, il y avait une étagère pleine de dossiers à regarder. J'en prenais un du début de l'alphabet et je tombais sur une certaine Aurore Bailey. Je ne la connaissais, je n'en avais jamais entendu parler mais pourtant, elle était bien là, une power qui avait fait de nombreux passage en maison de somnolence, mais qui s'était découvert des capacités hors du commun récemment, notamment avec ce terroriste qu'elle avait tué de façon improbable humainement parlant. Il semblerait qu'elle puisse se déplacer de façon particulière, du moins qu'elle possède des réflexes hors du commun, tel un félin vous fonçant dessus, autrement dit, elle avait un potentiel à exploiter en notre faveur. Je rentrais son nom dans notre base de donnée, et comme je le pensais, elle était suivie depuis plusieurs semaines, depuis qu'elle nous avait fait sa super attaque de la mort. Où se situait-elle en ce moment ? Apparemment, elle était partie faire du vélo un peu en dehors de la ville. C'est fou d'avoir cette idée là quand on sait qu'il va surement pleuvoir, et pas qu'un peu. J'hésitais à prendre mon vélo, ça aurait pu être amusant que l'on fasse un bout de chemin ensemble mais vu l'heure où elle était partie, elle avait trop d'avance. Je prenais donc une des voitures de fonction de la Tate Modern, une Jaguar que je prenais tout le temps. J'avais connu la marque à ces débuts et elle respirait le luxe. Bref, je ne vais pas vous faire un historique sur celle-ci. Je quittais donc le centre de la ville et après une vingtaine de minute, je me dirigeais dans la direction supposée d'Aurore. J'avais mis un peu de musique pour me détendre, enfin ça ressemblait plus à quelques choses comme ça (ici) mais j'aimais bien ce style que j'avais découvert il y a quelques années maintenant. Puis c'est à ce moment là que la pluie commença à tomber, un peu quelques gouttes, avant qu'un déluge ne s'abatte sur la route. Je ne voyais pas grand chose, il faut bien l'avouer, mais il me semblait que c'était elle, sans son vélo que je voyais une trentaine de mètre derrière. Elle avait la chance de tomber sur moi, elle était déjà trempée mais peu importe, je lui ouvrais la porte de derrière, il y avait des vêtements propres m'appartenant et une serviette. Oui, j'avais prévu de la trouver tremper mais ce n'était même pas certains.

    " Dépêchez-vous de monter, vous êtes trempé ma pauvre dame. "

    Je ne sais pas si elle accepterait de monter dans la voiture mais en même temps, si elle ne voulait pas être trop malade, elle n'avait pas 36 solutions, car je ne pense pas que tout le monde s'arrête pour la ramener chez elle.
Revenir en haut Aller en bas
http://nwo-rpg.jdrforum.net
Aurore Bailey

Aurore Bailey

Power - Discover


Messages : 21
Date d'inscription : 28/05/2011
Age Du Personnage : 27 ans

Wet to the bone [RP Libre] Empty
MessageSujet: Re: Wet to the bone [RP Libre] Wet to the bone [RP Libre] Icon_minitimeLun 30 Mai - 23:54

Si j’avais de la chance, je crois que ça se saurait pas vrai ? Je ne me considérais pas comme une chanceuse, j’ai toujours pensé qu’on faisait sa propre chance, on ne nait pas chanceux, on le devient si on sait forcer le hasard. De toute façon, dans mon cas, je crois en très peu de choses, je ne connais pas vraiment le sentiments, par empathie, plus ou moins, je saisis plus la logique des sentiments, je comprends les mots comme amitié et amour mais je ne les ressens pas. Je ne ressens pas non plus la culpabilité, je ne ressens pas non plus le doute du moins pas physiquement, je n’ai pas par exemple cette appréhension que les gens peuvent avoir face à un saut qui leurs semblent trop lointain. C’est une maladie que le psychologue que je voyais pensais pouvoir résoudre, depuis ma dernière mission, les choses ont changé. La façon dont je suis arrivée au terroriste a été mise sur le compte de l’adrénaline par les analystes de rapport du MI-5, moi je sais que j’ai fais quelque chose d’extraordinaire, je sais que ce que j’ai fais n’a rien à voir avec de l’adrénaline. C’était là, en moi et ça a éclaté soudainement, pendant quelques instants, tout m’était facile, j’étais agile comme jamais, j’avais des réflexes à faire pâlir un chat, je m’étais sentie...vivante. Ca avait été comme un sentiment de plénitude, comme si c’était vraiment moi de parvenir un bond tellement impressionnant et de tenir en équilibre sur un filin d’acier, ça m’avait semblé si simple, pourtant juste à l’instant avec ce maudit VTT, j’ai prouvé que j’étais incapable d’utiliser ce don comme je l’entendais. Alors il se peut que je me trompe, que ça ne soit pas vrai, que mon imagination ait tout inventé comme l’a soumis un psychologue des Services Secrets, mais ça me paraît si énorme. Quel intérêt d’inventer toute une histoire comme ça si c’est pour la finir par « j’ai mis le trafiquant d’arme à genoux et j’ai tiré ». Je l’avais purement et simplement exécuté, c’était le meilleur mot. Du fait qu’il était un homme dangereux pour ce monde, je n’eus qu’un blâme et on me retira du terrain pour faire de moi une formatrice. Une formatrice, moi qui ne fait pas dans la compassion, autant dire que les recrues qui passent entre mes mains trinquent sévèrement. Quand à mon « pouvoir » ? J’ignore encore si c’est bien un pouvoir, mais je veux comprendre d’où il vient, c’est pourquoi j’ai envoyé une lettre demandant à la Drowsiness House si il arrivait que des effets secondaires se fassent remarquer. Je sais que c’est peu probable, mais comment expliquer ce changement ?

En tous les cas, sous cette pluie battante, je ne fais vraiment pas la maline, ma jambe me fait mal, la plaie ne saigne pas, c’est une égratignure, il y aura des petits graviers a enlever quand je serais chez moi sans aucun doute mais pour l’heure, c’est la pluie qui m’inquiète. J’avais bien chaud sur mon vélo mais les gouttes sont glaciales et je suis à une sacré distance de mon chez-moi, je grelotte alors qu’il pleut depuis moins de dix minutes, j’aurais choppé la crève avant d’arriver chez moi à ce rythme. Et de lever le pouce ne donne pas vraiment de résultats concluants habituellement, on pourra remercier les médias et le cinéma pour ça, à force de nous vendre des auto-stoppeurs complètement cinglés du genre à tuer la personne qui les emmène, forcément plus personne ne s’inquiète d’eux. De la même façon à force de nous vendre des chauffeurs attirés par des jeunes minettes qu’ils vont violer, les auto-stoppeurs deviennent eux-mêmes suspicieux, bientôt l’auto-stop sera du passé. Dans mon cas, c’est surtout d’éviter la maladie qui m’intéresse mais quand le premier qui passe ne fait pas même semblant de ralentir, je me dis que je suis bonne pour finir le chemin à pieds. Et puis une voiture s’arrête, pas franchement le genre de voitures qu’on s’attend à voir s’arrêter, d’habitude ce sont plutôt des vieilles voitures ou du moins avec du vécu, rarement une voiture de luxe et jaguar...ma première fois dans une jaguar. Soyons clair, dans ma situation, je ne vais pas faire ma difficile, aussi la demoiselle au volant prononce les mots magiques pour me faire sourire. Je ne me fais pas prier et je rentre dans la voiture :


- Merci, c’est très gentil de votre part.

Je ferme la porte et m’assois, grelottant mais de loin pas assez malpolie pour utiliser la serviette qui pourtant m’est particulièrement intéressante en cet instant. Je tache de trouver le regard de la jeune femme dans le rétroviseur :

- Merci de vous être arrêtée. Trempée comme je suis, j’avais peur que personne ne le fasse et si jamais l’eau devait abimer les sièges, je vous laisserais mon adresse, vous n’aurez qu’à me téléphoner et je payerais pour les dégâts.

Oui parce que les dégâts de l’eau sur le cuir, je connais franchement bien. Et finalement dans un moment de politesse, je finis par me présenter :

- Aurore Bailey. Honnêtement ravie de vous rencontrer. Sans vouloir paraître...envahissante, est-ce que je pourrais vous demander de mettre le chauffage un peu plus fort. S’il vous plait.

Je n’oublie pas que je dépends de la gentillesse et de la volonté de cette demoiselle à ne pas me laisser être trempée, alors je n’ai pas honnêtement d’envie de m’entendre demander de sortir.
Revenir en haut Aller en bas
Pepper Chester

Pepper Chester

Fondateur - Big Boss du NWO


Messages : 1922
Age : 35
Date d'inscription : 24/03/2011
Age Du Personnage : 25 ans (681 en réalité)

Wet to the bone [RP Libre] Empty
MessageSujet: Re: Wet to the bone [RP Libre] Wet to the bone [RP Libre] Icon_minitimeSam 18 Juin - 22:13

[HJ : Désolé du retard :s]

    La situation était particulière, je dois bien l'avouer, rarement j'avais pris un auto-stoppeur, et encore moins une jeune femme trempée. Les sièges en prendraient surement un coup, mais je mettrais le chauffage ça ira mieux. Heureusement que j'ai fait installé des sièges chauffants, ça devrait lui faire du bien, mais avant de le faire, je vais la tester un peu. Oui, tester les gens c'est mon dada et je dois avouer qu'Aurore ignorait bien sur qui elle était tombé. Je faisais très gentille, et je le resterais sans doute tout au long du trajet. Nous finirions probablement chez elle, puisque c'est là-bas je suppose qu'elle voulait se rendre. Je l'observais à travers le rétroviseur intérieur de la voiture, elle était plutôt belle de forme, il n'y avait pas à dire, et puis, le visage mouillé, elle avait un certain charme, mais là s'arrêterait la description. J'étais à moitié dégoûtée pour les sièges en cuir en fait, mais c'est de ma faute, j'aurais du prendre une autre voiture pour faire genre, mais j'ai du mal. J'ai des voitures de cette marque depuis des années, et je me vois mal en changer, c'est sur que ça fait assez luxueux mais c'est tellement british, j'adore vraiment. Bref, je l'observais donc assise sur le siège arrière. Elle ne s'était pas fait prier pour rentrer à l'intérieur de l'automobile même si elle devait quand même être étonné d'être dans une si belle voiture avec un accoutrement pareil. Ce n'est pas comme si j'étais la conductrice de sa voiture privée, même si je dois l'avouer, ça faisait presque cet effet. Elle commença donc par me remercier, ce qui à mon sens était la moindre des choses, même si la politesse se perdait de plus en plus, c'était d'ailleurs désolant de voir ça. Dans une autre époque, il y avait tellement de respect entre les personnes, mais aujourd'hui, il n'y en a presque plus, dans des moments rares comme maintenant. Elle chercha alors à croiser mon regard dans le rétroviseur intérieur de la voiture, chose qu'elle trouva puisque je la regardais simplement. Ces autres propos me firent plaisir, mais je verrais bien si je ferrais suivre la note de frais, ce n'est pas comme si je n'en avais pas les moyens à vrai dire. Je lui faisais un petit sourire à cette phrase comme pour lui dire merci mais sans prononcer le mot magique. Elle se présenta alors, comme Aurore Bailey, au moins, elle ne mentait pas sur son identité que je connaissais déjà. Elle me demanda alors de mettre le chauffage un peu plus fort.

    " Enchantée de vous rencontrer Aurore, moi, c'est Pepper Chester. Je vais vous mettre le chauffage au niveau de votre siège, ça ira mieux pour vous je pense. Si vous voulez utiliser la serviette aussi, c'est possible. Mais dites moi, quelle idée avez-vous eux de vous promenez par ici avec une pluie pareil ? Surtout que nous sommes quand même un petit peu loin de la ville sauf si vous habitez dans le coin. "

    Je prenez les informations, je le devais bien, pour voir si elle me semblait sincère, et puis, elle voudrait rentrer chez elle, sauf si elle voulait que l'amène chez moi, ce qui ne posait pas de soucis, je me rendrais dans l'appartement de service de libre. Je scrutais ces mimiques, ces gestes, tout ce qui pourrait m'indiquer des informations sur elle.

Revenir en haut Aller en bas
http://nwo-rpg.jdrforum.net
Aurore Bailey

Aurore Bailey

Power - Discover


Messages : 21
Date d'inscription : 28/05/2011
Age Du Personnage : 27 ans

Wet to the bone [RP Libre] Empty
MessageSujet: Re: Wet to the bone [RP Libre] Wet to the bone [RP Libre] Icon_minitimeSam 18 Juin - 23:38

La pluie battante et glaciale avait raison de toute logique, cette voiture s’arrêtait, je ne pouvais que m’engouffrer dedans et tant pis si je me retrouvais dans une voiture avec chauffeur et un patron violeur, je sais me défendre. Pourtant dans cette voiture, il n’y a qu’une jeune femme, étonnement jeune d’ailleurs pour aimer ce genre de voiture vraiment classe, je reste un instant surprise quand je crois son regard dans le rétroviseur. Elle semble vraiment très jeune pour conduire et aimer ce genre de voiture, la voiture de papa peut-être ? Bizarrement je n’en ai pas le sentiment, habituellement quand on veut ramener la voiture des parents entières et en bon état, on ne prend pas d’auto-stoppeur, surtout pas trempé jusqu’aux os et qui vont inévitablement vous pourrir vos sièges et risque d’abimer le cuir. En tous les cas, elle me paraît jeune et c’est bien la première chose que je remarque chez elle, puis je remarque un peu mieux la voiture. Grande classe comme voiture, j’avais essayé une jaguar par le passé, mais le confort restait incomparable, so british, c’est une très belle voiture, hors de prix mais la qualité est largement là, il suffit d’un regard sur les coutures parfaites du cuir pour comprendre que le travail à la main qui a été fais est d’une plus grande qualité que celui des vêtements « nike » et « adidas ». Même le reste de la finition est largement supérieure en qualité, mon Audi bien que neuve et de qualité faisait franchement pâle figure, les deux voitures étaient dans deux catégories bien distinctes.

Mais revenons à la jeune femme qui m’évitait sans doute une bonne maladie, je suis sincèrement désolée pour ses sièges, même si une petite partie de moi espère forcément qu’elle n’envoie pas la facture, le cuir chez Jaguar, ça coûte très cher. Je l’écoute se présenter et curieusement son nom me dit quelque chose, pas comme une grande célébrité, mais j’ai souvenir de l’avoir déjà lu quelque part, sans doute un jour dans une revue ou peut-être même un organigramme, ça ne me revient pas sur le moment, je peux faire erreur j’imagine. A sa proposition de prendre la serviette, je m’exécute dans des gestes qui ne sont pas précipités pour le cas où elle reviendrait sur son avis, je me sèche rapidement le visage, les jambes et les bras avant de l’enrouler autour de mes cheveux pour éviter qu’ils ne continuent de goutter sur les sièges. Je souris à sa remarque sur mon idée de sortir tandis que déjà le chauffage du siège me réchauffe...bon sang c’est vraiment agréable ça, je n’avais jamais testé, enfin si mais pas en étant complètement frigorifiée, ça fait vraiment beaucoup de bien, je me sens frisonner tandis que mon corps se réchauffe :

- Merci pour la serviette, et le chauffage...et de vous être arrêtée, je ne pensais vraiment pas que quelqu’un s’arrêterait. Les gens comme vous sont devenus rare, j’ai dû tomber sur une perle sans doute, j’espère que vous ne prévoyez pas de me faire chanter pour me laisser sortir?

Je souris pour prouver que je plaisante, un peu d’humour n’a jamais tué personne et quand je suis un brin gênée comme c’est le cas en ce moment, je fais de l’humour.

- Je n’habite pas directement dans la ville, pas au coeur en tout cas et je prévoyais d’être rentrée avant la pluie malheureusement le temps a changé plus vite que je ne pensais...Et j’ai été un peu trop prise par mes pensées pour voir qu’il changeait aussi vite. J’habite Wandsworth, alors ça n’est pas si loin que ça. Mais vous n’avez pas à me ramener chez moi, vous pouvez simplement me déposer à un arrêt de bus, je prendrais un bus ou un taxi.

J’apprécie vraiment énormément le chauffage des sièges :

- Je pense que je ferais installer les sièges chauffants dans ma voiture prochainement, c’est vraiment agréable. Je m’avoue surprise de voir une jeune femme dans une voiture aussi...classe, les jeunes courent plutôt après la vitesse, ils oublient d’apprécier les voitures comme celles-ci.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé






Wet to the bone [RP Libre] Empty
MessageSujet: Re: Wet to the bone [RP Libre] Wet to the bone [RP Libre] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

Wet to the bone [RP Libre]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» Vol au marché[Libre]
» Le mal à sa raison d'être[Uriel Et LIBRE]
» (M) - Paul Walker - William Stanford (Libre)
» (m) – Steven R. McQueen – Hayden Smith (Libre)
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
New World Order RPG :: Londres :: Le Reste de la Ville-